Les Amis des Mées
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A ceux et celles qui ne voudraient pas mourir sans se réconcilier avec Dieu, à la messe des braves gens qui ont simplement désappri le chemin de l'église, je lui demande :
Qu'est-ce qui vous arrête?
La peur du qu'en dira-t'on? Elle n'est pas digne d'un français. Piétinez sur le repect humain! C'est une lâcheté.
- Votre travail? Mais le souci de votre âme doit passer avant tout. Vos pères savaient trouver le temps de préparer leur éternité.
- La crainte de compromettre vos intérêts matériels? Ils sont nombreux ceux qui n'ont rien perdu à se montrer crânement chrétiens. Cacher son drapeau n'est pas un acte bien vaillant. Et quand même cette crainte serait fondée. "Que sert à l'homme de gagner l'univers s'il vient à perdre son âme?"

A vous chrétiens et chrétiennes des grandes fêtes, chers anémiés du régime "le moins possible" que dire pour vous décider à observer toute la loi divine?
Est-ce votre foi qui hésite, chancelle dans l'obscurité du doute? Venez à Jésus, Docteur infaillible, il tient école à l'église où il vous invite à entendre ses leçons.
Est-ce ce préjugé où se mêlent certaine ignorance religieuse, tyrannie de l'opinion et de l'effet dissolvant de l'abstention d'un trop grand nombre? Peut-être.
Vous savez bien cependant que c'est chaque dimanche que vous devez assister à la sainte messe sous peine de manquer votre salut éternel.
Il n'y a que le premier pas qui coûte : une fois entrés dans la voie du chrétien intégral, vous y goûterez tant de bonheur que rien ne pourra plus vous arrêter ni vous en détourner.

J'arrive à vous les fidèles, les bons, les vrais chrétiens. Avant tout, un cordial merci! Merci, car par votre attitude et votre exemple vous faites plus et mieux que votre curé par ses exhortations, pour substituer dans la paroisse au régime de l'indifférence et de la crainte le régime de la confiance et de la bonne volonté dans nos rapports avec Dieu.
Merci, car c'est à vous que je dois la grande joie du succès de notre dernière retraite.
Merci aux congréganistes anciennes et nouvelles. Vous êtes l'élite de la paroisse, la portion choisie du troupeau qui m'est confié. La voie dans laquelle vous êtes engagée est celle de l'honneur et de la dignité; à la suivre cette voie de la piété et de la vertu il y a pour vous une joie sereine et immense que ne connaissent pas, hélas! celles qui abandonnent le Dieu de leur Première Communion pour courir après les joies trompeuses et dans les plaisirs éphémères et dangereux de la danse.
Il y a aussi pour vos parents une noble fierté et surtout une